Portraits d'Actrices

Portraits d'Actrices

GERALDINE BROOKS

 

 

 

 

 

 

GERALDINE BROOKS

29/10/1925 - 19/06/1977

 

 

 

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Fille de James et Bianca Stroock, propriétaires de la Brooks Costume Company, fournisseurs de costumes pour plusieurs théâtre de Broadway, Geraldine voit le jour le 29 octobre 1925, à New York (New York).

 

Diplômée de la Julia Richman High School, la jolie jeune fille poursuit des études de comédie à l’Académie Américaine de Arts Dramatiques puis à la Neighborhood Playhouse, toujours à New York.

 

Au début des années quarante, elle entame sa carrière artistique dans des petits rôles pour des théâtres de la Côte Est.

Elle participe, entre autres, aux tournées estivales de la Theater Guild qui présente un répertoire de productions shakespeariennes.

 

En 1944, Geraldine fait ses débuts à Broadway dans «Follow the girls», une comédie musicale aux côtés de Jackie Gleason.

En 1947, la jolie brune signe un contrat avec la Warner Bros et devient Geraldine Brooks

 

 

 

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Aussitôt, elle joue dans deux des productions les plus en vue du studio: «La possédée» avec Joan Crawford et «Le loup des trois collines» avec Errol Flynn et Barbara Stanwyck.

 

L’année suivante, elle décroche un premier rôle dans «Le droit de tuer», ou elle donne la réplique à Fredric March.

Suivent entre autre: «Les désemparés» (1949) de Max Ophüls et «Le défi de Lassie» (1949) de Richard Thorpe.

 

Elle dégage une telle présence à l’écran que, déjà, la Warner la proclame la nouvelle Katharine Hepburn. Mais hélas, jamais elle n’égalera sa célèbre consœur, la qualité des scénarii qui lui sont proposés, ne sera jamais à la hauteur des espérances de la nouvelle vedette.

 

En 1949, Geraldine saisit l’opportunité d’une proposition de producteurs italiens pour venir jouer à Rome dans «J’étais une pécheresse» où elle partage la vedette avec Vittorio Gassman. L’année suivante, elle accepte d’interpréter la sœur de Anna Magnani dans la nouvelle production transalpine de William Dieterle: «Vulcano ». 

 

 

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Puis, en 1951, elle participe à la production franco-américaine «Le gantelet vert» avec Glenn Ford.

Les succès étant mitigés et de retour aux Etats-Unis, elle s’éloigne du cinéma au profit de la télévision et du théâtre.

Sur scène, elle confirme notamment son talent avec la pièce «The time of the cuckoo» (1952-1953), à l’Empire Theatre de Broadway.

 

Par la suite, Geraldine Brooks reçoit une nomination au Tony Awards pour la pièce «Brightower» (1970) et aussi plusieurs nominations aux Emmy Awards pour ses prestations télévisées.

 

On peut la revoir au cinéma à trois reprises. La première pour «La rue des pécheresses» (1957) avec George Montgomery, la seconde pour «Johnny Tiger» (1966) avec Robert Taylor et enfin pour «Mr. Ricco» (1974) avec Dean Martin.

 

Puis, elle abandonne définitivement les plateaux de cinéma et se consacre à sa nouvelle passion: la photographie.

En 1975, elle publie un magnifique livre de photos d’oiseaux, accompagnées de textes de son second mari, l’écrivain-scénariste Budd Schulberg.

 

Très affaiblie par un cancer depuis le milieu des années soixante-dix, Geraldine Brooks décède le 19 juin 1977, à Riverhead (New York) victime d’une crise cardiaque.

 Elle n’avait que cinquante et un ans.

Son corps repose désormais au Washington Memorial Park, de Mount Sinai, dans l’état de New York.

 

 

 

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Puis, en 1951, elle participe à la production franco-américaine «Le gantelet vert» avec Glenn Ford.

Les succès étant mitigés et de retour aux Etats-Unis, elle s’éloigne du cinéma au profit de la télévision et du théâtre.

Sur scène, elle confirme notamment son talent avec la pièce «The time of the cuckoo» (1952-1953), à l’Empire Theatre de Broadway.

 

Par la suite, Geraldine Brooks reçoit une nomination au Tony Awards pour la pièce «Brightower» (1970) et aussi plusieurs nominations aux Emmy Awards pour ses prestations télévisées.

 

On peut la revoir au cinéma à trois reprises. La première pour «La rue des pécheresses» (1957) avec George Montgomery, la seconde pour «Johnny Tiger» (1966) avec Robert Taylor et enfin pour «Mr. Ricco» (1974) avec Dean Martin.

 

Puis, elle abandonne définitivement les plateaux de cinéma et se consacre à sa nouvelle passion: la photographie.

En 1975, elle publie un magnifique livre de photos d’oiseaux, accompagnées de textes de son second mari, l’écrivain-scénariste Budd Schulberg.

 

Très affaiblie par un cancer depuis le milieu des années soixante-dix, Geraldine Brooks décède le 19 juin 1977, à Riverhead (New York) victime d’une crise cardiaque.

 Elle n’avait que cinquante et un ans.

Son corps repose désormais au Washington Memorial Park, de Mount Sinai, dans l’état de New York.



27/03/2023
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