Portraits d'Actrices

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AUDREY HEPBURN

 

 

 

 

 

 

AUDREY HEPBURN
04/05/1929 – 20/01/1993
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Audrey Kathleen Ruston naît à Ixelles, en Belgique, le 4 mai 1929, d’un père anglais (diplomate, pur londonien, en fonction à Bruxelles à ce moment là) et d’une mère issue de la noblesse hollandaise, la Baronne Edda van Heemstra.
 
Après une enfance passée entre la Belgique, l’Angleterre et les Pays-Bas, Andrey s’installe finalement en Hollande avec sa mère divorcée, au début de la seconde guerre mondiale. Elle décide alors, à onze ans, de devenir danseuse, et s’inscrit au Conservatoire de Musique d’Arnhem.
 
En 1948, la charmante jeune fille apparaît pour la première fois au cinéma dans un petit film indépendant hollandais: «Le hollandais en sept leçons». De retour à Londres, Audrey multiplie les petits emplois, tout en auditionnant, vainement, auprès de divers ballets.
Elle décroche enfin un petit rôle dans une comédie musicale «High button shoes» de Jules Styne. Parallèlement, elle pose pour des photos de magazines, et enchaîne les silhouettes pour la télévision. Sa persévérance est finalement récompensée, au début des années cinquante, devenue Audrey Hepburn, elle tourne dans plusieurs productions britanniques. On l’aperçoit également dans «Nous irons à Monte Carlo» (1952) de Jean Boyer, perdue au milieu de Ray Ventura et de son Orchestre.
 
 
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En 1951, l’écrivain français Colette recommande expressément la jeune actrice pour interpréter le rôle titre de l’adaptation de sa pièce «Gigi», à Broadway. Audrey obtient effectivement le rôle et la pièce est un triomphe. Aussitôt, William Wyler l’engage pour être la partenaire de Gregory Peck dans «Vacances Romaines» (1953). Sa prestation lui vaut un Oscar, et le film remporte un succès mondial. Devenue une des reines de Hollywood, elle tourne alors avec les plus grands cinéastes: Billy Wilder, John Huston, Fred Zinnemann, Stanley Donen et Blake Edwards. En 1954, Audrey épouse Mel Ferrer. Le couple le plus glamour de Hollywood partage l’affiche de «Guerre et paix» (1956) de King Vidor et de «Les vertes demeures» (1958) , réalisé par Ferrer lui-même. De cette union naîtra un enfant et ils divorceront en 1968.
Dans les années soixante, Audrey Hepburn s’impose définitivement grâce à quelques grands succès qui fascinent les foule, parmi lesquels: «Charade» (1963) avec Cary Grant, «My fair Lady » (1964) de George Cukor et «Comment voler un million de dollars ?» (1965) avec Peter O’Toole. En 1967, après «Seule dans la nuit» de Terence Young, la star prend ses distances avec le cinéma. Elle revient pourtant en 1975, pour incarner la Marianne de Sean Connery, lui-même en Robin des Bois, dans «La rose et la flèche» de Richard Lester.
 
 
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En 1988, Audrey est officiellement nommée Ambassadrice de Bienfaisance pour l’UNICEF. L’année suivante, elle effectue sa dernière prestation dans «Always» de Steven Spielberg.
Retirée en Suisse, Audrey Hepburn meurt le 20 janvier 1993, à Tolochenaz-sur-Morges, emportée par un cancer. En avril de la même année, son fils Sean Ferrer, recevra à titre posthume le prix humanitaire Jean Hersholt aux Academy Awards. Une récompense amplement méritée pour une femme de cœur et de talent, qui restera à jamais une douce étoile dans le cœur de millions d’admirateurs.
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26/11/2016
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